Au sommaire du lien :

  • Emile Gloanec, de Bretagne à Saint- Pierre et Miquelon, par Michel Le Carduner.

Cette biographie pourrait-être intitulée : Tel père, tel fils, les conseillers municipaux de Saint-Pierre ne s’y sont pas trompés quand, en 1953, ils ont décidés de rebaptiser la rue Delécluse en Gloanec, sans précision de nom.

  • Les enfants de la Madeleine par Charly Neuder.

La rue de Saint-Malo à Brest est un vestige du vieux Recouvrance, au creux du vallon de Pontaniou, en contre-bas du plateau des Capucins. Elle a gardé ses façades anciennes , son pavage et son caniveau central. Barrée à son extrémité par une levée qui interdit depuis 1809 l’accès aux forme de radoub de l’arsenal, elle est bordée sur sa droite par un haut mur qui la sépare du terrain de la Madeleine.

  • Jean Marie Deguignet et les engagés volontaires de Quimper en 1854 par Thierry Nedelec.

En 1854 cent treize hommes se présentent à l’engagement volontaire dans la Finistère. Le nom de l’un de ces engagés a été remarqué en 1998 lors de la parution de ses Mémoires rédigés à la fin du XIX siècle, il s’agit de Jean-Marie Déguinet.

  • Police des mœurs par Carl  Rault.

Je vous invite à recommander à la surveillance particulière de l’autorité, le Sr Bastien Tréguet, garçon limonadier, qui, d’après décision de S.E du 7 de ce mois, a été renvoyé de Paris à Landivisiau son pays natal pour cause de pédérastie.

  • L’épreuve du deuil de  masse, par Jean-Pierre Garo.

Les historiens spécialistes de la Première Guerre mondiale ont, depuis de nombreuses années, traité le sujet du deuil de masse et de la mémoire collective. Cet article qui reprend, en les complétant, les panneaux d’une exposition réalisée en 2018, aborde l’hommage aux instituteurs du Finistère, organisés par la communauté de deuil (Jay Winter) de l’école laïque de ce département.

  • Un cousin disparu en 1898 dans la naufrage du navire Fiado, vers Nouméa, par Raymond Bargillat,

J’ai récemment découvert le décès de mon lointain cousin Adolphe Joseph Marie Barguill(i)at, capitaine au long cours, né le 27 février  1855 à Pont-l’Abbé, fils de Jean-Michel, maître au cabotage, né le 2 décembre 1824 à Audierne, décédé le 10 août 1855 à Pont-l’Abbé, et de Rosalie Marie Perrine Janvier, y née le 6 février 1832, décédée le 7 avril 1916 à Quimper.

  • Et bien sûr les faits d’hier et d’aujourd’hui.

 

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