AFFINITÉ parenté par alliance, liée au mariage.
Affinité spirituelle : lien créé par le baptême
AGNATIQUE Parenté par le père.
Lignée agnatique = Lignée patronymique.
AÎNÉ Le fils aîné est l’aîné des garçons mais pas nécessairement de la  fratrie.
BORNEMENT DE Nom de l’inventaire qui était effectué en cas de remariage d’un COMMUNAUTÉ veuf. (voir le mot décès).
 CONSANGUIN En généalogie : parenté par le père
Frère/sœur consanguin = ½ frère / sœur de même père
au sens large : personnes ayant un ancêtre commun cf. empêchement de consanguinité
COLLATÉRAL Parent issu d’un ancêtre commun mais pas de la même lignée, Cousin au sens large.
CONSORTS Parents cohéritiers d’une même branche  « …tant en privé que pour ses consorts de l’estoc paternel… » dans les partages, aveux
CONVENANT Exploitation agricole dans le mode de faire valoir du domaine congéable propre à certains terroirs breton.
(analogue à ferme pour le fermage ou métairie pour le métayage).
CORDELÉE Voir Frairie
DÉGUERPIE Veuve
DEMOISELLE  Au 17-18°S ne signifie pas célibataire mais femme noble (ex: Dlle Marguerite de TREDERN, douairière de KERSALIO
DOUAREN /EZ  Petit(e) fil/s/le –héritier(ère)
ENFANT « …ses enfants … » dans un acte de décès, signifie fils / fille, mais peut aussi inclure beau-fils / belle-fille et gendre / bru.
ESTOC Branche ou lignée : les 2 estocs paternel et maternel.
FILIÂTRE Enfant du conjoint, d’un précédent mariage. Aujourd’hui  = beau-fils/belle-fille. Cf. Parâtre
FRAIRIE Subdivision de la paroisse, parfois appelée CordeléeDixmerie (à Garlan par ex.), et même Trêve (à Plouigneau par ex.).
Devient  section  de la commune en 1790.
FRATERIE Ensemble des frères et sœurs.
GENERAL de la paroisse Sens large : Tous les paroissiens : inhumé en présence du général assemblé pour la grand’messe.
Sens restreint : les chefs de famille.
GERMAIN (=g) frères & sœurs  g.= de même père et mère
Cousins g = degré de parenté 2-2 #
Cousins issus (= remué) de g. = degré de parenté 3-3 #
Oncle / tante g. =  frère / sœur du père ou de la mère
Oncle/tante issu/e de g  =degré de parenté 3-2 #
# : cf. arbre de parenté
HOIR Héritier. Sans hoirs de son corps = sans descendants.
IMPLEXE Consanguinité dans un arbre d’ascendance
JUVEIGNEUR Le plus jeune des fils (ou par défaut, des filles) ayant une part spéciale dans certains types de successions (quévaise…)
NATUREL (enfant) Dans les actes de baptême de l’ancien régime, tous les enfants sont naturels, qu’ils soient légitimes ou illégitimes.
Ce n’est qu’avec l’état civil moderne que « naturel » signifie né hors mariage.
NOM Au 17-18° s : Nom de baptême ; notre actuel prénom
OBIIT éventuellement suivi d’une date, en marge d’un acte de baptême : indique que l’enfant est mort dans l’année. Il n’y aura pas d’acte de décès.
PARÂTRE Nouveau mari de la mère (aujourd’hui « beau-père », dans les actes plus anciens, on utilise le mot : vitric)
Le correspondant féminin de ce mot est marâtre. Cf.filiâtre.
PARENTS Ses parents
Dans les actes du 17-18°S ne signifie pas ses père et mère mais les autres proches parents.
PATRONYME l’actuel Nom de famille. Au 17-18°S : appelé surnom
En terme juridique : Nom Patronymique
SECTION DE COMMUNE Cf. Frairie
SURNOM Au 17-18°S : l’actuel Nom de famille était appelé Surnom
TRÊVE (ou Succursale) Partie de la paroisse-mère ayant une certaine autonomie en raison de son éloignement du bourg paroissial. Elle est dotée d’une église tréviale et d’un curé sous l’autorité du recteur de la paroisse. Certaines ont des registres BMS complets depuis longtemps (Landivisiau en Plougourvest), d’autres seulement en partie et sur une courte période (Mespaul et Ste Catherine en Plouvorn). Certaines deviennent commune en 1790 (Bolazec) d’autres sont absorbées par une autre commune, la paroisse-mère, le plus souvent  (Coatqueau en Scrignac). Parfois ce mot est utilisé pour frairie (voir ce terme).
UTERIN Parent par la mère
Frère/sœur utérin :
2 sens différents dans les actes du 17-18°S  → 1/2 frère/sœur de même mère ou jumeaux
VITRIC Parâtre
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